Voilà longtemps, je découvrais que j’étais Breton et, comme beaucoup de Bretons, j’apprenais quelques mots de breton avec ma grand-mère à Tregastell. A l’église, chanter le « Jesus pegen braz ve » était un immense plaisir. Les années Morvan Lebesque, Strollad Ar Vro, Oaled Ab Herve m’ont rempli d’espoir… jusqu’à ce jour où je découvrais que la politique avait tué l’âme bretonne ; jusqu’à ce que l’UDB ait voulu s’assimiler à l’âme bretonne et ait réussi à vampiriser la force celtique de mes compatriotes.
Ah, il ne fallait pas dire qu’on était chrétien ? Ah, il ne fallait pas dire qu’on était libéral ? Ah, il ne fallait pas dire qu’on était nationaliste ? Désolé, j’avais tout faux ! Alors, lorsque les Bretons ont commencé à redresser la tête en se coiffant d’un bonnet rouge, j’ai pensé que, enfin, le peuple breton se reconnaissait Breton et Fier. Hélas, c’était un leurre agité sous notre nez par des gens qui avaient intérêt à mobiliser l’ardeur bretonne pour défendre leur capital. Nous avons vu, lors des élections régionales, le succès de Le Drian, soutenu en caméra cachée par Locarn, Troadec et les soi-disant partis bretons.
Et enfin, la montée de l’islam est venu ponctuer cette marée capitalo-socialiste d’un trait « religieux » qui manquait à la panoplie de nos édiles.
Oh, je ne dis pas que l’islam représente une majorité en Bretagne, mais c’est une minorité qui doit être mise au ban de notre société, car c’est une idéologie mortifère et en contradiction formelle avec ce que nous portons culturellement !
Alors, nous nous sommes tourné vers nos frères gaéliques Irlandais et précisément vers le Celtic People’s Party of Ireland, car ils portaient fièrement les couleurs du nationalisme celte et du christianisme.
En termes clairs, nous sommes inquiets de la montée en puissance de l’islam dans le monde, en Europe, en France et en Bretagne. Et même si l’on nous dit que c’est là une attitude d’extrême droite nous n’en avons pas peur ! Comme tous les Européens, nous sommes tous en guerre contre l’islam, qu’on le veuille ou non, parce que l’islam est en guerre contre nous. C’est là où se trouve « l’idéologie mortifère », la vraie ! Celle que les beaux esprits socialo-collabos soutiennent !
Je me bats pour mon peuple et pour éviter à la Bretagne de subir la montée de l’islam ; parce que l’islam, je connais bien ; je connais cette idéologie liberticide, pour avoir passé 9 ans de ma vie dans les pays musulmans; j’ai reçu des menaces de mort en Tunisie après avoir organisé la Fête de la Bretagne en 2011 (1)
Non, la religion musulmane n’est pas une religion comme les autres, la religion musulmane fait partie de l’islam, et l’islam est une idéologie politique puissante, surpuissante. C’est un rouleau compresseur et je rêve que la Bretagne puisse l’esquiver !
Mes références sont Wafa Sultan, Waleed Al-Husseini, Majid Oukacha, etc. Des auteurs qui écrivent avec leurs tripes. Eux savent en profondeur ce qu’est l’islam. Osez dire à Wafa Sultan que ses propos ne sont « qu’une manière d’acclimater les idées du Front national » lorsqu’elle affirme haut et clair que « le problème, c’est l’islam ; pas l’islamisme ou le terrorisme, l’islam ! » Osez dire aux apostats musulmans qui adhèrent courageusement au parti des ex-musulmans de France qu’ils sont des agents du FN.
Non, je ne suis pas raciste… Comment pourrais-je l’être après avoir passé quarante ans dans tous les pays du monde ? Je ne confonds justement pas Arabe et musulman ! Je ris volontiers avec mes amis Tunisiens; mais je ne ris plus du tout lorsque je sens l’islam tapi dans l’ombre, prêt à frapper sournoisement hors de la volonté des individus, hors de leur libre arbitre. L’islam nie l’individu, nie le libre-arbitre ; cette négation est son carburant !(2)
J’en appelle à tous mes compatriotes Bretons, de gauche comme de droite: démarquez-vous du discours bobo et du discours des officiels Français. Montrez-nous votre courage politique, combattons ensemble l’islam tout en respectant les individus, quelles que soient leurs origines ethniques. C’est un combat difficile, mais nous avons le courage de le mener.
Je compte sur vous.
Claude Guillemain-Charlez