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trégastel - Page 2

  • Vexillologie. Une conférence d'Alain Raullet samedi

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    Dans le cadre de l'exposition, jusqu'à dimanche, d'une collection de plus de 50 drapeaux, Alain Raullet propose une conférence, «La voix de la vexillologie», samedi 31 octobre à 18h30, au centre des congrès.

    Président de la Société bretonne de vexillologie, il parcourt le monde, de l'Afrique du Sud au Japon en passant par l'Australie, pour faire partager sa passion.

    Entrée gratuite

  • Exposition. Drapeaux et pavillons au centre des congrès

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    Après avoir découvert les drapeaux dans son premier dictionnaire alors qu'il était enfant, le Briochin Alain Raullet s'est pris de passion pour la vexillologie, l'étude des drapeaux, de leurs symboles et de leur signification. Il a commencé sa véritable collection, il y a 30 ans, lors d'un voyage en Iran, d'où il est revenu avec le drapeau du pays. Sa collection compte désormais de 300 à 400 exemplaires de toutes formes ou types. Au centre des congrès, il présente une cinquantaine de pavillons (que l'on hisse) ou de drapeaux (fixés sur une hampe) ayant, pour la très grande majorité, trait à la Bretagne. Le samedi 31octobre, Alain Raullet animera, à 18h, au centre des congrès, une conférence «La voix de la vexillologie».

    Pratique: Exposition visible au centre des congrès, jusqu'au 1er novembre, tous les jours, de 10h à 12h30 et de 14h30 à 19h30.

    Source : Le Télégramme

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    Alain Raullet
  • Exposition sur la Vexillologie à Trégastel

     

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    Grande première en Bretagne, …une exposition sur la Vexillologie à Trégastel en Côte de Granit Rose.

     

    Pour la première fois, en Bretagne, l'exposition d'une collection privée sur le thème de la Vexillologie, nous fait découvrir un patrimoine méconnu, tout en symbolique, dont on ne connaît pas toujours toutes les clefs….

     

    Le Vexillum, étendard des légions romaines, a donné son nom à cette discipline qui s'intéresse aux emblèmes des régions, des villes…: la vexillologie.

     

    Du 25 Octobre au 1er Novembre prochain, Alain Raullet présentera une impressionnante collection de plus de 50 drapeaux au Centre des Congrès de Trégastel.

     

    Alain Raullet collectionne, répertorie, et décrypte l'histoire et la signification des drapeaux. Il nous fera la démonstration que les vexilloïdes ne sont pas seulement nationaux ou tricolores….

     

    Président de la Société Bretonne de Vexillologie, il parcourt le monde, de l'Afrique du Sud au Japon en passant par l'Australie, pour faire partager sa passion.

     

    Le 31 octobre, à l'instar de ses chroniques vexillologiques radiodiffusées, il animera une conférence sur « la Voix de la Vexillologie » à Trégastel, commune de la Côte de Granit Rose.

     

    Cette « première » est l'occasion pour petits et grands de découvrir la Vexillologie et de redécouvrir la Côte de Granit Rose à la faveur des vacances d'Automne.

     

    Pour tout renseignement, contacter Isabelle Fossey  02 96 15 92 35.

     

    L'affiche de l'exposition est en pièce jointe. Affiche-web.jpg

     

    Nous vous remercions de l'information que vous pourrez diffuser sur le sujet et restons à votre disposition pour tout renseignement.

     

    Bien cordialement,

     

    Service Communication 02 96 15 92 35/ 06 75 40 05 56

  • Patrick Poivre d'Arvor condamné pour diffamation

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    PPDA a été condamné pour avoir diffamé le PDG de TF1.

    Le tribunal correctionnel de Paris a condamné l’ancien animateur du JT de TF1 pour diffamation envers Nonce Paolini, PDG de la chaîne.

    Dans le magazine Bretons en octobre 2008, PPDA avait vertement tancé Paolini, dénonçant « un système de pointage à badges. Il possède sa police privée chargée de scruter les moindres déplacements. C'est un adepte de ce genre de pratiques, en complète contradiction avec le métier de journaliste ».

    Le journaliste a été condamné à 500 euros d’amende avec sursis, ainsi qu’à verser un euro de dommages et intérêts à la chaîne.
    Une condamnation somme toute symbolique, mais qui en dit long sur l’inimitié qui unit les deux hommes.


    Krog e Barz, Padrig !

  • Tourisme. Mieux vendre la Bretagne

    KnysnaIMG_0946 (92).JPGÀ l'heure où se décident les destinations pour les vacances d'été, une question mérite d'être posée: la Bretagne sait-elle bien se vendre? Sa communication touristique est-elle assez percutante? Trop de clichés? Pas assez moderne? Le débat est ouvert.

    Personne ne le conteste: la Bretagne est une image de marque à elle seule. Patrimoine, authenticité, paysages, identité forte... Comme dit un publicitaire: «On va en vacances en Espagne ou en Bretagne». Ça fait une différence avec la plupart des autres régions françaises. Forte de cette image de marque, la Bretagne ne s'est-elle pas un peu reposée sur ses lauriers? La petite baisse de fréquentation que connaît la région inciterait à répondre par l'affirmative. «On a l'impression que la Bretagne n'a plus rien à prouver. Une communication de clichés s'est mise en place: on a la galette, la pêche à pied, le folklore... C'est une image un peu arriérée. Ça fonctionne bien avec les plus de 40ans mais pas avec les jeunes. On est capable de s'ouvrir à autre chose», observe ÉricPrunier, le directeur de l'office de tourisme de Binic (22). Si ses propos sont plus nuancés, Jean-YvesLeFloch, directeur de l'office de tourisme de Fouesnant, reconnaît aussi la nécessité «de casser un peu les clichés».

    La Bretagne doit «se poser par son identité»

    Faudrait-il alors occulter l'aspect tradition de la Bretagne pour moderniser sa communication? Personne ne va jusque-là. D'autant qu'il y a un décalage entre la perception qu'ont les Bretons de cette communication et ceux à qui elle s'adresse. «Pour les Bretons c'est un message qui n'est pas toujours facile à décrypter», reconnaît Georgette Bréard, chargée du tourisme à la Région. En clair, une bonne communication, ce n'est pas forcément l'image de la Bretagne telle que les Bretons voudraient la voir. Dans un marché de plus en plus concurrentiel, quel serait, comme disent les professionnels, le positionnement le plus efficace? «Le positionnement de la Bretagne, c'est la Bretagne. Une destination touristique doit d'abord se poser par son identité», répondent Jean-Michel Joncourt et Hervé Danet, de l'agence Publicis Activ de Brest. Bref, faire l'impasse sur la richesse identitaire de la Bretagne serait une grave erreur. Reste à déterminer, dans cette identité, ce qui est le plus efficace, qui puisse être en écho avec un Anglais ou un Allemand. «Si c'est une coiffe de bigoudène, pourquoi pas», ajoute Jean-MichelJoncourt.

    Région peu accueillante pour les jeunes

    Directeur général adjoint de Studio T, Benoit Roby ne dit pas vraiment autre chose. «Il y a plein de clichés mais ils constituent la base de la communication. Quand on vient ici, ce n'est pas neutre. C'est pour des sites naturels. Il ne s'agit pas de les occulter. L'exercice consiste à mettre en avant les fondamentaux tout en les dépoussiérant». Parmi les exercices réussis, Benoît Roby cite la campagne «Bretagne tonique». «C'était moderne, c'est la seule qui me reste en tête». Autre question: la Bretagne exploite-elle assez sa richesse culturelle? Pour Jakez Bernard, patron de Label production, c'est non. «Bretagne terre de festivals, c'est ça qu'il faut mettre en avant. Pas des choses qui existent mais que l'on n'est pas sûr de trouver, comme le soleil». Une suggestion que retient GeorgetteBréard: «On est considéré comme une région pas très accueillante pour les jeunes alors que l'on a tout pour eux à commencer par les festivals».

    L'exemple de l'Irlande

    Pourquoi ne pas mettre plus en avant les Bretons, à l'instar de ce qu'a fait l'Irlande avec succès? «Les vacances, ce sont aussi des rencontres», observe Benoît Roby. Une piste que MichaëlDodds, le nouveau patron du tourisme breton a l'intention d'exploiter pour attirer une nouvelle clientèle.

    • Yvon Corre

    Source http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/tourisme-mieux-vendre-la-bretagne-13-04-2009-333353.php

    Communication. Les Bretons au coeur de la stratégie

    Michaël Dodds est le nouveau directeur du Comité régional du tourisme. Il veut réaffirmer la marque Bretagne et mettre les Bretons au coeur de la stratégie de communication.

    Pour certains, la communication de la Bretagne joue trop sur les clichés. Est-ce votre avis?
    Nous avons un véritable défi: s'appuyer sur les traditions tout en étant moderne. Il n'y a pas de solution toute faite. Il ne faut pas non plus oublier que le littoral est une locomotive. Il faut l'utiliser tout en montrant qu'il y a autre chose, toute une gamme d'activités. C'est la Bretagne dans sa diversité qui est intéressante.

    Le tourisme breton doit-il revoir sa stratégie de communication?
    Je pense qu'il y a des marges de manoeuvres importantes dans le domaine de la communication. Toutes les régions sont en train de faire un virage important dans leur politique promotionnelle. Dans le passé, on privilégiait les salons; aujourd'hui, c'est internet. La Bretagne a pris un petit retard. On ne s'est pas doté des outils de pointe. Nous sommes en pleine réflexion sur la refonte du site et sur la façon de vendre la Bretagne avec une approche marketing plus poussée. Le but est de créer des sites pour chaque motivation recensée. Il faut être en phase avec les besoins et les attentes de nos clients. La Bretagne est une fabuleuse marque. Il faut la réaffirmer.

    Comment jugez-vous les campagnes de promotion menées jusqu'à présent?
    J'ai de sacrés doutes sur la pertinence de certaines campagnes. Communiquer au niveau d'un pays, ce n'est pas forcément le meilleur vecteur. Au niveau des départements, ça peut être pertinent mais pas toujours. Une certitude: toutes ces opérations sont très peu coordonnées. Ma mission de base est de mettre de la cohérence.

    Jusqu'à présent, c'était un peu le chacun pour soi?
    C'est effectivement chacun pour soi et cela n'a pas beaucoup de sens et n'est pas forcément efficace. Il y a le comité régional du tourisme, les comités départementaux, les offices de tourisme, parfois les Pays et les Chambres de commerce et d'industrie, les réseaux professionnels... Ça fait beaucoup. Ce qui est encourageant, c'est que tout le monde commence à comprendre qu'il y a là un grave problème.

    Avez-vous l'intention de redéfinir le message?
    Je suis très inspiré par l'Irlande. Ils ont réussi à mettre les Irlandais au coeur de la démarche touristique. En Bretagne, il y a surtout des Bretons et une identité bretonne très forte. Ne faut-il pas commencer par mettre les Bretons au coeur de l'offre touristique? Il faut humaniser notre communication.

    Un budget difficile à évaluer

    Combien dépense la Bretagne pour attirer les touristes? Difficile de répondre précisément à cette question tant les acteurs sont nombreux.

    Chacun veut communiquer dans son coin sans vraiment se préoccuper de ce que fait l'autre. «C'est un combat permanent avec les élus locaux», reconnaît GeorgetteBréard, chargée du tourisme et du patrimoine à la Région.

    Trois millions d'euros de budget pour la Région

    Acteur central, le comité régional du tourisme dispose des moyens les plus importants. Les trois quarts de son budget sont consacrés à la communication, soit, grosso modo, trois millions d'euros. Une enveloppe qui comprend tout, les campagnes de publicité, les éditions, les promotions sur les différents marchés étrangers... Parmi les récentes opérations, on citera le site internet «Bons plans en Bretagne» qui vient d'être lancé avec les comités départementaux, pour 400.000euros. Au budget du comité régional s'ajoutent ceux des comités départementaux. 

    Un comité comme celui du Morbihan consacre entre 300.000 et 400.000euros à la promotion et à la communication. Pour celui des Côtes-d'Armor, l'enveloppe va de 500.000 à 700.000euros. Une somme qui comprend notamment les opérations «centre ville» de quatre jours menées à Lyon, Paris et Strasbourg ainsi que l'achat de mots clés sur internet. Le comité départemental du Finistère aura, lui, dépensé 100.000euros dans une campagne de promotion Grand Ouest cette année. La somme consacrée à la communication en 2009 s'élèvera à 340.000euros.

    Pas d'égalité pour les offices de tourisme

    Pour promouvoir la Bretagne, il y a aussi les offices de tourisme. Financés en grande partie par la taxe de séjour, leurs moyens varient beaucoup. Par exemple, l'office de tourisme de Binic, qui fait partie des plus importants de Bretagne, dépense entre 30.000 et 35.000euros en communication. Une enveloppe qui comprend les actions de promotion, les éditions, le site internet, l'achat d'encarts publicitaires...