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  • Les candidats aux élections nationales bretonnes de novembre 2016 !

    Les candidats aux élections nationales bretonnes de novembre 2016 !

    Source : KAD
    Porte-parole:Jean-Loup LE CUFF
    Publié le 26/01/15 2:06
     
     
    [Bretagne] —
    Affiche du troisième communiqué de KAD sur les élections nationales bretonnes, traitant des candidats!
    Affiche du troisième communiqué de KAD sur les élections nationales bretonnes, traitant des candidats!
    (Élection du Parlement provisoire Breton, troisième communiqué)

     

    Suite aux deux premiers communiqués de KAD concernant les élections nationales bretonnes, et visibles sur notre site en lien ci-dessous, voici le troisième communiqué qui traite des candidatures bretonnes de ces premières élections nationales bretonnes de novembre 2016.

    Qui pourra se présenter aux élections ?

    Tous les Bretons et Bretonnes d'origine ou d'adoption vivant sur les cinq départements bretons, ainsi que tous les Bretons et Bretonnes d'origine mais expatrié(e)s hors de Bretagne, pourront faire acte de candidature au Parlement de Bretagne, à travers les premières élections nationales bretonnes de novembre 2016.

     

    Les futurs candidats devront être majeurs trois mois avant l'élection, c'est-à-dire en août 2016, au début de la campagne électorale.

    Les futurs candidats devront être vierges de toutes condamnations de droit commun exclusivement (atteintes aux biens privés et aux personnes), les condamnations d'ordre politique (atteintes aux biens publics) par la justice française pour une action en faveur de la Bretagne n'étant pas, en toute logique, un obstacle pour se présenter à des élections nationales bretonnes. En d'autres temps, ces condamnés auraient été ou seront appelés «résistants à l'oppression», et c'est pour qu'il n'y est plus besoin d'arriver à de telles extrémités pour se faire entendre en Bretagne, que la représentation parlementaire nationale bretonne est justement réactivée. Le nouveau Parlement de Bretagne doit donc être considéré de tous côtés, comme une alternative à la lutte armée par son expression exclusivement démocratique.

    Les futurs candidats devront préalablement s'être inscrits sur les listes électorales selon les explications données sur le deuxième communiqué : Voir le site

     

     

    Les documents à fournir :

    Les documents d'identité ayant déjà été fournis lors de l'inscription sur la liste électorale, les futurs candidats devront simplement fournir deux nouveaux documents pour leur acte de candidature :

    Un extrait B3 de casier judiciaire vierge de toutes condamnations de droit commun. (Démarche à faire ici : Voir le site )

    Une rédaction manuscrite signée et datée de cette charte du candidat aux élections nationales :

    CHARTE DU CANDIDAT AUX ELECTIONS NATIONALES BRETONNES :

    Je, sous signé(e)….…………………............……….…….…..,

    né(e) le ………...… à …………………………………..... , ayant le N° …….….. sur le code électoral breton, déclare sur l'honneur et de façon contractuelle :

    1/ Ne pas travailler pour un parti politique jacobin et centraliste en particulier, ou pour toute autre structure anti-bretonne de façon générale.

    2/ Me présenter aux élections nationales bretonnes, sur la liste Bretonne interne ou sur la liste Bretonne de la diaspora (barrer la mention inutile), pour défendre au sein du Parlement de Bretagne les intérêts premiers de mon pays la Bretagne, dans tous les domaines de la vie et du quotidien, pour l'intérêt de ses habitants de souche comme d'adoption, les Bretons !

    3/ Et défendre notamment, et selon ma sensibilité, les intérêts de la Bretagne dans :

    - son intégrité territoriale,

    - son Histoire et ses cultures,

    - ses langues,

    - son économie et son développement industriel de qualité,

    - son auto-détermination politique,

    - son auto-suffisance énergétique,

    - son savoir vivre solidaire et harmonieux dans un environnement respecté et protégé

    - son image et ses relations à l'étranger.

    4/ Pour ce faire, j'ai conscience que mon intérêt personnel n'est pas l'objectif de mon engagement, et je refuse toute forme de collusion ou de corruption qui pourrait venir souiller et avilir la cause de la Bretagne que je défends.

    5/ En cas de désaccord avec mes collègues parlementaires, je saurai rester courtois(e) et démocrate à travers le vote souverain et/ou le consensus d'intérêt général.

    6/ Si ma situation ou mon comportement s'avérait déroger à ces cinq principes précédemment énoncés, j'accepterai de recevoir le rappel à ma parole ici donnée. Dans le pire des cas, pour une attitude anti-bretonne évidente et servant des intérêts autres que ceux de la Bretagne et des Bretons, et à travers un éventuel et possible vote sanction des autres parlementaires, j'accepterai de quitter ma fonction au profit du candidat le mieux placé en nombre de voix à l'élection précédente, pour rentrer au Parlement et prendre ma place.

    7/ Je serai vigilant(e) et persévérant(e), constant(e) dans la réflexion et le travail de construction du présent et de l'avenir de tous mes compatriotes, ferme et déterminé(e) dans l'adversité autant que souple et magnanime dans le respect des personnes et de la dignité humaine. Je ferai honneur à nos anciens comme je servirai les nouvelles générations. Mon devoir accompli sera ma joie et ma récompense : contribuer en tous domaines à l'épanouissement et au réveil de mon pays la Bretagne.

    Sur mon honneur et de façon contractuelle, le ……….. à …………………..

    Signature.

    Un droit d'inscription à candidature :

    Un droit d'inscription de 50 € sera également demandé, afin de couvrir une partie des frais d'installation du Parlement. Cette somme pourra évoluer dans le temps, et en parallèle tous les dons de nos compatriotes qui voudront aider au fonctionnement de ce Parlement seront acceptés. Ces frais d'inscription seront payables à chaque acte de candidature pour chaque élection.

    Comment s'inscrire ?

    Soit par courrier, soit par Internet comme suit :

    Par courrier, vous envoyez les deux documents demandés ci-dessus, avec un chèque de 50 € à l'ordre de KAD, à l'adresse Association KAD, 25 Bel-Air, 35140 Gosné.

    Par Internet, vous envoyez les documents demandés ci-dessus à l'adresse mail : kadbzh [at] gmail.com . Un RIB vous sera envoyé pour virement de 50 € sur le compte de KAD, avec la mention « candidature ».

    Quand votre dossier sera complet, votre paiement de 50 € encaissé, vous recevrez votre confirmation de candidature avec la suite de la procédure à respecter, dont la rédaction d'une profession de foi pour la Bretagne. Cela sera expliqué en détail dans le communiqué qui parlera de la campagne électorale.

    Comment se présenter sur la liste des candidats ?

    Au début de la campagne électorale, la liste complète et close des candidats sera donnée trois mois avant l'élection de novembre 2016, donc au début du mois de septembre 2016. Les candidats seront présentés sur deux listes par ordre alphabétique, une pour les résidents en Bretagne et une seconde pour la diaspora. Chaque candidat se présentera donc seul, hors parti, mais dans sa profession de foi consultable en ligne, et qui aura été transmise à tous les Bretons inscrits sur la liste électorale, il se sera présenté humainement, socialement et politiquement selon son libre arbitre.

    Sur la liste nominative des candidats qui servira de bulletin de vote, comme expliqué ci-dessous, en face du nom de chacun il y aura quelques indications : la mention « indépendant » si non encarté suivie de la mention (ou non) que le candidat jugera utile, afin d'éclairer sur la couleur politique du candidat, sachant que ces mentions restent toujours un peu floues, et qu'une lecture des professions de foi sera recommandée. Si le candidat est encarté dans un parti régionaliste, autonomiste ou indépendantiste de Bretagne, le nom du parti sera mentionné.

     

    Le vote se fera par raturage sur le bulletin où se trouveront les deux listes, recto verso. Les électeurs pourront raturer autant de noms qu'ils voudront, garantissant la véritable démocratie du choix électoral. Au dépouillement, chaque nom qui ne sera pas barré par bulletin donnera une voix au candidat. En fonction du nombre X de postes à pourvoir, X restant à définir selon le nombre de candidats afin de faire jouer la sélection démocratique, les X premiers candidats au nombre de voix seront donc élus en un seul tour. Cette façon de procéder nous semble la plus démocratique possible, hors listes de partis ou de lieux… Nous en reparlerons.

    Le rôle des futurs élus ?

    D'abord quelques éléments sur les conditions de travail : ils seront élus pour trois ans renouvelables au début, afin de permettre rapidement à de nouveaux parlementaires de prendre éventuellement le relais. Ensuite dans le temps, la durée parlementaire entre élections pourra évoluer à 4 puis 5 ans, selon des modalités à définir. Ils seront bénévoles et non remboursés de leurs frais de route : non intéressés par des payes mirobolantes, ils seront de vrais passionnés de la Bretagne. Au fil du temps, avec une augmentation des électeurs et donc des subsides d'inscriptions ainsi que des dons, un défraiement pourra être envisagé. Le covoiturage et le lieu de session mensuel tournant dans toutes les villes de Bretagne pourront offrir une égalité de facilité de déplacement à tous. En dehors des sessions mensuelles, le travail se poursuivra par Internet, ou par réunions parallèles de commissions. Les conclusions des travaux parlementaires seront données par voies de presse au peuple breton et consultables en ligne.

    Ensuite, le rôle exact des Parlementaires sera triple :

    Premièrement, commencer à rédiger la future constitution de la Bretagne en tenant compte du meilleur de toutes les constitutions existantes et bien sûr des spécificités de la Bretagne et du Peuple breton. Nous disons « commencer » car pour atteindre une forme exhaustive, il faudra prendre son temps et y revenir à plusieurs fois, deux ou trois Parlements successifs sans doute. Nous parlerons donc de constitution provisoire de la Bretagne. (Pour info : Voir le site avec un intérêt particulier pour celle confédérale de la Suisse. Entre autres…)

    Deuxièmement, commencer à rédiger le corpus des premières lois de Bretagne, en tenant compte du passé (« L'ancienne coutume de Bretagne » à étudier par commission spécialisée) et bien sûr de la modernité présente et des faits de société. Elles seront consultatives et exemplaires et non exécutives, dans l'attente d'un changement de statut de la Bretagne que nous espérons voir évoluer au moins vers l'autonomie. Dans cette attente, le Parlement pourra donner également son point de vue sur les lois françaises en Bretagne, et apporter ses propositions de corrections, pour éclairer le Peuple Breton sur l'intérêt d'une administration bretonne de la Bretagne.

     

    Troisièmement, fort de son début de légitimité par le vote démocratique, le Parlement provisoire de Bretagne pourra prendre tous les contacts qu'il jugera utile à l'international, et éventuellement ester en justice au nom du Peuple Breton.

    Dans leurs travaux multiples, les parlementaires bretons pourront prendre conseils auprès de tous les experts qu'ils jugeront utiles. Chaque commission spécialisée dans un domaine pourra tenir lieu d'embryon ministériel, les futurs organes exécutifs procédant légitimement des organes législatifs précédemment élus par le vote populaire.

    Le rôle de KAD, Kelc'h An Dael, dans et à côté du Parlement ?

    KAD est l'association logistique qui aura permis la création du Parlement provisoire de Bretagne, et elle continuera de l'accompagner à chaque instant dans la neutralité : les membres de KAD ne se présenteront pas au Parlement de Bretagne ou alors seront suspendus de KAD le temps d'une élection et/ou d'un mandat parlementaire, mais ils resteront attentifs à résoudre tous les problèmes internes ou externes, et auront un rôle important à jouer dans la communication, la médiation, la logistique matérielle pour la bonne marche du Parlement . Ils seront par la neutralité objective, les garants de la mise en place, du fonctionnement, et du renouvellement par élections du parlement. Ils seront aussi les gestionnaires des finances en prémisse d'une cour des comptes à venir. Ils pourront également intervenir sur la création d'une future Chancellerie de Bretagne, en complémentarité avec une autre structure bretonne à naître ou déjà existante. En aucun cas ils n'interviendront sur le fond du débat des Parlementaires, qui restent seuls maîtres des lois et de la Constitution bretonne à venir. Ils ne voteront pas et ne feront aucun commentaire sur la qualité ou les travaux du Parlement. Ils n'en seront donc pas responsables non plus. Ils pourront éventuellement être consultés sur la forme des sessions ou mis à contribution dans la structuration des débats, mais seulement sur la demande des Parlementaires, tour à tour en tant qu'huissiers ou globalement embryon d'un conseil d'Etat… Adaptables sur demande et selon la situation et ce qu'elle exige.

    Dans les mois qui viennent de nouveaux communiqués expliqueront en détail tous ces points en totale transparence, mais en résumé disons que beaucoup de choses pourront être définies par avance en règlement intérieur, tout en sachant qu'il est difficile de tout prévoir, et que c'est à l'usage que les choses s'affineront, dans la concorde et la convivialité.

    Concrètement dès maintenant ?

    Tous les Bretons que ce projet intéresse peuvent déjà s'inscrire sur la liste électorale, dès maintenant et avant le 31 octobre 2016 dernier délai. Ils ne seront pas simples électeurs, mais également ambassadeurs de ce beau projet démocratique de Parlement de Bretagne ré-instauré, libres de convaincre nos compatriotes du bien fondé de ce projet et de nous y rejoindre. De plus nous voulons le meilleur pour la Bretagne, et pensons déjà à une démocratie participative plutôt que représentative. Les électeurs, une fois le vote passé, auront donc encore un rôle à jouer si ils le désirent : proposer des débats ou les orienter selon des modalités que nous aurons l'occasion d'expliquer bientôt. Et bien sûr, les électeurs inscrits qui désirent s'engager plus en avant peuvent déjà faire acte de candidature au Parlement Breton selon les indications données ci-dessus. Votre avenir vous appartient… Ensemble construisons-le !

    Ken ar c'hentañ evit frankiz Breizh !

    KAD

    Le 21/1/15.

    Le site Internet: Voir le site

    Contact presse : kadbreizh [at] gmail.com

    Contact électeurs et candidats : kadbzh [at] gmail.com

    Note : Dans le déficit démocratique où vit la Bretagne depuis si longtemps, notre idée de Parlement de Bretagne fera tranquillement son chemin, élections après élections, nous en sommes sûrs. Comme bel exemple de cette affirmation, nous nous devons de souligner que déjà, l'hebdomadaire du Pays de Fougères, La Chronique Républicaine, a retenu parmi les 28 personnalités qui ont fait 2014 sur son territoire, dans son édition du 1er janvier 2015, notre président et porte-parole de KAD ! Dans le texte sous sa photo, ce projet d'élections nationales bretonnes pour un futur Parlement de Bretagne est expliqué. Merci donc à la Chronique Républicaine de Fougères qui a salué à sa façon notre projet démocratique. ■

     

     

     

     
     
     
    KAD, Kelc'h an Dael, (Cercle du Parlement), est une association bretonne ouverte à tous les patriotes et démocrates bretons de gauche(s) comme de droite(s), qui acceptent que toute divergence d'opinion interne soit réglée par le vote souverain, dans le but d'œ'oeuvrer ensemble, en toute fraternité et convivialité, pour la création ou le réveil d'un Parlement de Bretagne.

     

    KAD n'est pas un parti breton de plus, mais un lieu de rencontre et de coordination de tous les bretons et partis bretons désireux de faire l'UNION !

    KAD ne prétend pas être le Parlement de Bretagne, mais l'association logistique qui va, avec l'aide de toutes les bonnes volontés, mettre en place les conditions électives et démocratiques pour créer ce Parlement de Bretagne.

    Site: http://www.parlementdebretagne.org/

    Contact: kadbreizh@gmail.com

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  • Dexia – Franc suisse. Ces collectivités bretonnes qui ont contracté des emprunts toxiques.

     

    dexia.suisse

    21/01/2015 – 08H00 Bretagne (Breizh-info.com) – Jeudi dernier, la Banque centrale suisse a décidé de laisser flamber sa monnaie, créant un véritable séisme avec des répercussions jusqu’en Bretagne. Samedi dernier,  le franc suisse est ainsi arrivé à parité avec l’euro., son cours augmentant ainsi de plus de 20% par rapport à la devise européenne. Un mini-séisme dans les milieux économiques qui pourrait être lourd de conséquences pour des collectivités locales et territoriales françaises qui avaient souscrits à des emprunts structurés Dexia dits «toxiques» et dont une des particularités est d’être indexés sur la parité euro/franc suisse.

    Des Français (collectivités ou particuliers) ayant contracté des emprunts à taux d’intérêt plus faible qu’en France à l’époque, notamment via Dexia Séisme pour l’économie helvétique, pourraient ainsi voir leurs emprunts devenir subitement 20 % à 30 % plus chers. Et en Bretagne, elles sont nombreuses les collectivités qui avaient souscrits à ce type d’emprunt, elles qui avaient été recensées dans un article datant de 2009, chiffres à l’appui . Nous avions déjà relaté par le passé les cas de Douarnenez ou de Riantec.   Néanmoins, ces chiffres sont susceptibles d’avoir évolué avec les renégociations des emprunts par les communes.

    Tout d’abord, les conseils généraux : celui du Finistère est concerné, avec un emprunt qui pourrait coûter entre 10 et 20% supplémentaire à la collectivité (un surcoût d’environ 2 Millions d’euros pour un emprunt de 18 911 000 euros). Le CG des Côtes d’Armor l’est également, avec un emprunt de 34 000 000 euros qui pourrait lui coûter 4 761 000 euros de plus que prévu. Enfin, l’assemblée départementale de Loire-Atlantique a contracté des emprunts pour 21 491 000 euros pour un surcoût estimé de 2 939 000 euros.

    Pour les communes :

    Etaient déjà ainsi gravement concernées (un risque de plus de 50% de surcoût ) les communes de Quiberon et Grand-Champ pour le Morbihan .
    Perros-Guirec et Rostrenen pour les Côtes d’Armor pourraient devoir payer entre 20 et 50% , tout comme Elven, Ploermel, Guer, Lanester, Ploeren dans le Morbihan, Bruz, L’hermitage, Cancale, St-Cast le Guildo pour l’Ille-et-Vilaine, Donges et Haute-Goulaine pour la Loire-Atlantique.

    D’autres communes pourraient devoir régler un surcoût entre 10 et 20% : Gouesnou, Châteaulin, Pleyben, Douarnenez, Fouesnant, la Forêt Fouesnant, Concarneau, Guidel, Queven, Hennebont, Riantec,Carnac, Tregastel, Paimpol, Pordic, PLerin, Lamballe, Dinard, Montfort sur Meu, Louvigné du Désert, Thorigné-Fouillard, Bain  de Bretagne, Argentré du Plessis, Lecousse, St Nicolas de Redon, guerouet, Plessé, St Joachim, St Nazaire, Nord sur Edre, Ligné, St-Christophe La Couperie, Limouzinière, St Philibert de Grand-Lieu, St Herblain, Orvault, Thouaré sur Loire, Sorisnières, Mesdon sur Sèvres ou encore Rezé.

    Enfin, une quarantaine de communes bretonnes étaient concernées par des emprunts qui pourraient leur faire débourser entre 0 et 10% supplémentaires.

    Les conséquences peuvent être graves pour les collectivités et leurs administrés. D’autant que l’Etat a – jusqu’à présent, – tenté d’apporter son soutien aux banques concernées plutôt qu’aux collectivités comme le démontre cette enquête de Bastamag. Une commune ne peut pas faire faillite : en cas de risque de défaut de paiement, le préfet peut prendre le contrôle des opérations et imposer des mesures drastiques, notamment des hausses d’impôt ou des réductions des dépenses publiques.

    D’après un article du Monde datant de 2014, les collectivités se sont mises elles-même en porte à faux pour contracter ces emprunts spéculatifs, connaissant les risques encourus. «Ce n’est pas recommandé, mais en tout cas, ce n’est pas illégal. Une circulaire datant de 1992 interdit de vendre des produits spéculatifs aux collectivités, car la puissance publique estime que ce sont des opérations qui ne relèvent ni de leurs compétences ni de l’intérêt général. Une interdiction qui épargne la notion de couverture des risques, c’est-à-dire l’achat d’un produit financier faisant le pari inverse de celui qu’on veut couvrirUne autre circulaire de 2010confirme la nécessité de transparence sur le sujet mais n’interdit pas non plus la distribution de produits structurés.» On peut s’interroger sur ce mélange des genres entre les marchés financiers privés et les budgets publics.

    Les responsables des collectivités publiques ayant validé ces prêts spéculatifs  particulièrement risqués, ne pourront donc se voir reprocher que leur imprudence ou leur incompétence. Comme d’habitude, au final ce seront les contribuables qui devront payer l’addition. Une addition plutôt salée.

    Au sens propre, il ne s’agit pas  d’emprunt  » toxique  » mais de formule à risque avec un caractère spéculatif. C’est la banque DEXIA créée en 1996, issue du CLF, lui-même venant remplacer en 1987 le CAECL, filiale de la Caisse des dépôts et consignation et, donc,  de l’administration française et spécialisée dans les prêts aux collectivités locales et organismes publics comme les hôpitaux, qui les a proposés pour la majorité.

    Dans tous les cas, cela traduit une triple légèreté ou incompétence : celle des responsables des collectivités qui n’ont pas mesuré le risque et spéculer sur le dos du contribuable, les banquiers et en particulier DEXIA qui ne semblent pas avoir bien notifié le risque encouru, l’Etat qui n’a pas surveillé cette dérive de l’utilisation de l’argent public et de la gestion d’une banque dépendant de l’Etat qui a d’ailleurs été démantelée en 2011 / 2012 avec  une perte de plus de 11Milliard euros et remplacée par la SFIL ( Société de financement local ) filiale à 75% de l’ETAT.

    Dans les années 2000, les magasines économiques vantaient les succés de DEXIA et de son président Pierre RICHARD, POLYTECHNICIEN issu de la haute administration. Il a démissionné en 2008.

    A noter enfin que la France avait sauvé Dexia de la faillite après la crise financière de 2008, pour un coût estimé à 6,6 milliards d’euros, avant d’être épinglée par la Cour des comptes.

    Photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

     
  • Bro gozh ma zadoù !

  • L'Allée couverte de Kerguntuil

    L’allée couverte de Kerguntuil (également appelée allée couverte de Hent Kornadoned) est un monument mégalithique de premier plan. Il s’agit d’une sépulture collective datant du néolithique final (2000 avant Jésus-Christ).
    L’allée couverte mesure neuf mètres de long et comprend quatre tables de couverture reposant sur douze piliers. L’entrée se trouve au nord-ouest.
    La fouille du monument a été effectuée en 1939. Des ustensiles (haches polies, poignard en silex) ont été découverts sous les deux dallages situés au fond de l’allée.
    La décoration intérieure est très riche ; les faces internes comportent huit paires de bosses. Probablement ces bosses figurent les seins de la déesse Ana, protectrice des défunts. En breton, le verbe décéder se traduit par ‘mont da anaon’ que l’on peut aussi traduire par ‘rejoindre le royaume d’Ana’.

    http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bspf_0249-7638_1946_num_43_9_2105

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  • Des silex de plus de 40 000 ans mis à jour

    40 000 avant JC : une tribu résiste encore et toujours à l'Evolution. A l'aube de l'humanité, le Tregastellois est un « homo-erectus qui se lève tôt » : pour changer tout ça, il décide de se présenter aux élections. Avec une femme prof de Préhistoire-Géo en ZEP (Zone d'Evolution Prioritaire), un fils cadet militant alter-darwiniste opposé à l'usage du feu et de la fourrure, et une fille aînée qui flirte avec Rahan de la Pétaudière, fils à papa héritier du plus gros volcan ? récemment privatisé ? de la région, il n'est pas au bout de ses peines.

    De la Biennale d'Art Préhistorique Contemporain aux Ancêtres Bretons, des Tregastellois-sapiens aux « minorités visibles » néandertaliennes, c'est tout notre théâtre contemporain qui défile en peaux de bêtes, pour une parodie au vitriol de notre société évoluée. 

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